Les photos des escales de ma croisière (4/5)
Publié le 1 Mai 2012
Après Malte, nous avons rejoint la Sicile, distante d'une centaine de kilomètres et notre bateau s'est arrêté pour la matinée à Catania. Une excursion à l'Etna était prévue, mais avec le mauvais temps, elle a été malheureusement annulée. Nous décidons tout de même de descendre à terre et de nous promener dans la ville.
Magnet en pierre de lave
Ruelle typique de la ville avec son linge qui pend entre les maisons et statue d'un éléphant, emblème de la ville de Catania. Il a été sculpté dans un bloc de pierre de lave.
On y trouve de nombreuses églises Belle façade au centre ville
La Via Etnea qui se sépare en deux
Promenade dans le parc de la Villa Bellini
Au milieu de la ville, les ruines d'un amphithéâtre romain
En nous promenant, nous sommes passés dans une rue remplie de merceries ! Elles se suivaient l'une après l'autre, des deux côtés de la route. J'y ai jeté un coup d'oeil, mais rien de spécial qui m'intéressait vraiment, j'aurais dû avoir plus de temps, mais je n'étais pas seule et ma passion n'est malheureusement pas celle du reste de la famille
Cathédrale Sant'Agata
Retour au port. Les couleurs étaient magnifiques et quel contraste entre les bateaux de pêche tout pourris et les bateaux rapides de la police !
Vue d'ensemble de Catania et l'on distingue l'Etna dans les nuages
Photo prise à travers la vitre du restaurant lors du repas
Contraste des couleurs de la mer entre les différents courants
Détroit de Messine, côté Sicile
Détroit de Messine, côté Calabre
Détroit de Messine, où la botte rejoint le ballon
Prémices d'une nuit agitée...
Photo prise à travers le hublot de notre cabine
Eh oui, la mer n'a pas toujours été calme, c'est le moins que l'on puisse dire. Etant sujette au mal des transports, j'ai dégusté ce soir-là et je ne suis pas la seule. Dès le passage de Messine, les vagues étaient de plus en plus hautes. Imaginez que notre cabine est à une hauteur d'à peu près 5 mètres du niveau de la surface de l'eau. Plus les heures avançaient, plus l'écume s'approchait du hublot. Le bateau tanguait énormément, il fallait se tenir aux barrières le long des murs pour avancer sans tomber. Les passagers étaient soit malades, soit ça ne leur faisaient rien. Des pastilles contre le mal de mer étaient distribuées, mais ne faisaient pas l'effet que j'aurais voulu. Je continuais à avoir la tête qui tournait et des maux de ventre. Le pire, c'était la soirée du capitaine avec un magnifique repas de gala que je n'ai pas pu manger.
Je plains le personnel de nettoyage qui avait fort à faire ce soir-là. Heureusement, ils étaient munis d'un spray ultra performant qui détruisait toute odeur nauséabonde, si vous voyez ce que je veux dire...
Le seul endroit où j'étais bien, c'était couchée dans mon lit et j'ai quand même bien dormi.
Ci-dessous, photos prises par mon mari à travers le hublot, j'étais trop mal pour regarder dehors. Les vagues mesuraient environ 5 mètres et nous avons estimé Beaufort 7.
Heureusement, le lendemain, nous sommes bien arrivés à Naples. La mer s'était calmée et la journée s'est bien déroulée. Les estomacs allaient mieux également. En parlant de la soirée avec un de nos serveurs à table, il m'a confié que la moitié du personnel de cuisine avait été malade et tout autant de passagers.
Je ne sais pas si ces fameux bracelets avec des aimants m'auraient aidé... Est-ce que ça marche, si l'on y croit ?